La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D’Evans (Épisode N°1551)

Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode N°1548) -

Chapitre 17 : L’entretien d’embauche –

Alors que je regardais ébahi, interloqué, la photo, Marie me cravachait le cul d’une volée de coups sans ménagement… Pourtant sévères, ces coups de cravache ne me blessaient pas moralement, ne me faisaient aucun mal mentalement, la douleur certes physique n’avait rien à voir avec d’autres ressentis beaucoup plus forts, beaucoup plus étourdissants. J’étais en effet bouleversé, extrêmement ému, singulièrement affecté. Pour la première fois je venais de voir, sur cette photo jaunie, mes parents nus, s’accoupler en toute indécence, de façon obscène, sans complexe, devant plusieurs personnes, puisque sur ce cliché, se trouvaient des pieds à proximité de leur corps enchevêtré. Mon père semblait prendre du plaisir, son visage était souriant mais aussi crispé, comme s’il était au bord de la jouissance, quant à ma mère, je ne pouvais dire si elle était dans la concupiscence et la délectation. En effet, ses longs et épais cheveux blonds lui couvraient le visage posé au sol entre ses bras joints… La revêche et sadique cuisinière semblait étonnée de ne pas me voir tressaillir, sursauter à chacun de ses coups donnés sur mon fessier… De plus en plus, elle s’acharnait sur mon cul avec véhémence et force, si bien que Monsieur le Marquis, sévère mais toujours bienveillant, lui intimait l’ordre de s’arrêter.

- Ça suffit Marie, ne me l’abime pas… Il a le cul écarlate avec des boursoufflures qui auront du mal à s’estomper… A ce que je sache, ce chien n’est pas puni, alors un peu de retenu et de complaisance…
- Mais vous voyez bien Monsieur le Marquis, que cette petite pute a besoin de souffrir, il ne bronche même pas lorsque je l’assaille ainsi !
- Ça suffit Marie, t’ai-je dit !, reprenais le Maitre d’un ton sec et autoritaire.
- Bien Monsieur le Marquis, comme vous voudrez, c’est Vous le Patron !

La cuisinière, sans doute à regret, cessait en bougonnant, puis repartait… Alors à cet instant, ma nouille toujours dure et raide, profondément logée entre les fesses de mon congénère, commençait à apprécier et savourer ces chairs intimes.

Elles enveloppaient et emprisonnaient mon gland et ma bite toute entière, avec de temps à autre des soubresauts ou contractions qui me faisaient frissonner de la tête aux pieds. Presque au bord de l’orgasme, je continuais à assiéger ce cul chaud et accueillant, sans bouger, dans lequel j’étais si bien.

- Branle-le avec ton cul de salope, fais-le cracher en bougeant ton bassin en va-et-vient !, ordonnait le Maitre à l’attention d’esclav’antoine enculé. Et toi, je veux t’entendre mugir de plaisir, gueuler ta jouissance, lorsque tu évacueras tes salissures et souillures, reprenait le Noble cette fois-ci à mon égard.

Crispation, détente, resserrement, décontraction, rétractation, assouplissement, cette rondelle, ce rectum, m’assaillaient sans que je fasse le moindre mouvement, sans me déhancher par des va-et-vient invasifs car les allers et retours se faisaient par les mouvements réguliers des hanches de mon congénère… Je commençais par haleter, souffler et respirer de plus en plus fort, gémir et me crisper, me tendre et à bout de souffle, gueuler de toutes mes forces ma jouissance avec l’impression d’éjaculer des litres de foutre dans le cul d’esclav’antoine ! Je m’affaissais, m’allongeais sur son dos, oubliant cette cordelette autour de nos couilles respectives, nous liant l’un à l’autre, oubliant le Maitre et l’obtention de Son accord préalable… Je prodiguais et distribuais de petits baisers à mon congénère, sur sa nuque et son cou qu’ils le firent frissonner et soupirer d’extase.

- Vous êtes beaux Mes chiens, vous M’avez offert un beau spectacle en copulant et vous baisant ainsi devant Moi… J’ai fait quelques photos de vous deux… peut-être serviront-elles un jour ?…

Dans l’heure qui suivait, je repartais du Château avec un pincement au cœur. J’aurai su donner encore de ma personne pour rester près d’esclav’antoine. Mais le Maître en avait décidé autrement. Walter était venu le chercher pour l’emmener ailleurs, où ?.
.. « Quand le reverras-tu ?, seras-tu d’ailleurs autorisé à le recroiser ? », pensais-je. L’idée de jamais le revoir me mettait dans un sale état. Alors en arrivant à la Bastide, après une bonne douche bien chaude, je branchais mon enceinte Bluetooth, m’asseyais dans un fauteuil et écoutais à fort volume, une playlist de musique de hard-rock dont l’iconique Bon Scott que j’avais sur mon IPhone. J’avais besoin de bruit autour de moi, un bruit assourdissant après ces huit jours passés dans le silence absolu. J’avais besoin d’air, pour respirer à pleins poumons, mes portes et fenêtres étaient grandes ouvertes ! J’avais (paradoxalement à la musique pour le calme) besoin de calme et de sérénité, d’être seul, tant j’avais mal vécu ses observations incessantes, méprisantes et dégradantes.

Après un bref repas, je filais au lit, avec des pensées et réflexions ambivalentes : « Etais-je bien fait pour être un esclave ? Mon bien-être n’était-il pas pourtant, en me comportant comme tel ? Etais-je bien fait pour vivre ces ignominies incessantes ? Si non, pourquoi alors prenais-je autant de plaisir tant physique que mental lorsque je les subissais ? »… Mes pensées allaient aussi vers celui qui m’avait quelque peu chamboulé et retourné les tripes. Etais-je tombé amoureux d’esclav’antoine, sans même le connaître ? Je revoyais ces grands yeux bleus, son regard doux, ses lèvres fines, son nez droit, ses cheveux blonds coupés courts, ses doigts longs et fins, ses poils sur ses jambes, son corps musclé, son fessier ferme, sa virilité pleinement assumée… « Serai-je autorisé à le revoir ? Était-il lui aussi attiré par les hommes, ou simplement contraint à obéir aux Exigences du Maître en se donnant à toute personne choisie par le Noble, quel que soit son sexe ? Vivait-il en permanence au Château, ou venait-il y séjourner comme moi dès qu’on me siffle ? »..

Sur ces impressions et questionnements, je me sentais perdre l’esprit, mes yeux se fermaient de fatigue, je m’endormais… Rêvais-je ou était-ce la réalité… Combien de temps s’était-il écoulé ? Cinq minutes ? Une heure ? Une nuit ? En tout cas, cette sonnerie me sortait des bras de Morphée.
Sans ouvrir les yeux, j’essayais d’attr mon téléphone posé sur mon chevet, pour arrêter cette sonnerie qui me harcelait, qui me semblait être celle de mon réveil. Je me trompais… ce n’était pas celle du réveil, mais bien un appel téléphonique, nous étions donc très certainement le matin ! Vaseux, la voix cassée et rauque, je m’entendais dire :

- Allo !
- Bonjour Monsieur Lapeyrière, je suis Martial Montambert, Directeur de la société Kinet Export. J’ai reçu votre CV du cabinet de recrutement, je souhaite vous rencontrer au plus vite. Etes-vous disponible ce matin à onze heures ?

« Houlala qu’est-ce qu’il me veut celui-ci, il devrait parler plus vite encore », pensais-je. Pour dire vrai, je n’avais rien compris de ce court monologue… Mon cerveau était totalement embrumé, ne captait et n’imprimait rien, j’étais totalement dans les vapes…

- Vous m’avez dit onze heures Monsieur Martial
- Non, Monsieur Montambert !, me reprenait cet homme fermement

Non quoi… avais-je mal compris l’horaire ? « Putain réveille-toi Alex ! »

- Oh excusez-moi, Monsieur Montambert !… Entendu Monsieur, vous pouvez me communiquer l’adresse du lieu de rendez-vous.
- Je vous l’envoie de suite par SMS, avec la localisation GPS, car l’entreprise est difficile à trouver dans cette zone industrielle. Je vous dis donc à tout à l’heure, onze heures dans mon bureau. Au revoir Alex !

Avais-je bien entendu, il m’avait appelé Alex… c’était surprenant ! Je regardais l’heure sur mon téléphone. Horreur… il était neuf heures trente du matin ! Le sms arrivait… Il fallait que j’aille à Macon… Je sautais du lit et dans un pantalon de toile, enfilais une chemise blanche, une paire de chaussettes, dévalais les escaliers, me faisais couler un café, me regardais dans miroir du salon. « Oh non, tu ne peux pas mettre ce pantalon trop étroit… on voit distinctement ta cage ! », me disais-je. Je remontais quatre à quatre les marches, me changeais, prenais un pantalon plus large, je redescendais, buvais mon café d’une traite, un dernier coup d’œil dans le miroir, passait ma main dans ma chevelure pour ébouriffer un peu mes cheveux aplatis, chopais une veste, passais une paire de chaussures à mes pieds et courais jusqu’à ma voiture après avoir pris la clé de contact et mes papiers… Ouf j’étais dans les temps.
Avant de démarrer, j’adressais un sms à Monsieur le Marquis pour l’informer de ce rendez-vous…

(A suivre…)

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